Crédit photo : Badmania.fr
Les doubles pour sauver la mise demain ?
11 points, c'est court. Et ça ne permet pas vraiment de faire des différences physiques dans un set. ce constat a-t-il joué dans la défaite de Thomas Rouxel, lui d'ordinaire friand des longs combats physiques ? Le finaliste du récent White Nights n'a en tout pas trouvé la solution pour enchaîner après un premier set remporté facilement. Il s'incline d'entrée face à l'Indien Subhankar Dey (6-11, 13-11, 11-6, 11-4).
11 points, c'est aussi un format qui ouvre davantage de perspectives pour créer des surprises. Une réalité dont n'a pas pu bénéficier le simple dames tricolore. Face à la pensionnaire du Maromme DMSA (Top 12), la Russe Natalia Perminova (3), Yaëlle Hoyaux n'a pas trouvé la solution (11-8, 11-7, 11-8). Face à la vétérane nationale Olga Arkhangelskaya (36 ans), Marie Batomène a elle aussi mordu la poussière aujourd'hui (8-11, 11-6, 7-11, 11-3, 11-9).
Kersaudy/Maio n'étaient eux pas loin d'éviter la bulle au clan tricolore. Mais les Japonais Takano/Tsukamoto ne l'entendaient pas de cette oreille (11-8, 11-9, 14-15, 13-15, 11-6).
Les bleus gardent encore quelques chances de bien figurer avec des paires en phase de rodage avant les mondiaux de Glasgow. Avec un duo de choc côté féminin, les championnes de France Delrue/Palermo (3). Ensemble, elles défieront les Japonaises Araki/Matsuda. Respectivement avec Thom Gicquel (4) et Bastian Kersaudy (2), les deux Insepiennes affronteront Serpionov/Vorobeva et Chan/Cheah.
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