Discrète chez les juniors…
Dans l’ombre d’une génération dorée, Taï Tzu Ying était condamnée à jouer les seconds rôles. Très loin d’imaginer ce que le destin allait lui réserver, la pépite de Taipei n’a pas brillé chez les juniors. Il faut dire que lorsque vous avez Intanon Ratchanok, Akane Yamaguchi, Nozomi Okuhara, Sun Yu, P.V Sindhu ou encore Busanan Ongbamrungphan dans vos tableaux, tout à tendance à devenir plus compliqué. Plus jeune championne du monde de l’histoire, Intanon Ratchanok a passé 29 semaines en tête du ranking junior en 2011. En 2013, c’est Nozomi Okuhara qui passe plus de 50 semaines en tête de ce classement, un record qui n’a été battu que par Akane Yamaguchi et ses 630 jours de domination.
6 titres mondiaux en 6 éditions, voilà ce que représentent le trio Intanon-Okuhara-Yamaguchi. Le seul fait d’arme de Taï Tzu Ying chez les juniors se résume finalement à une médaille d’argent lors des championnats d’Asie 2009 . C’est probablement en 2012 que la Taïwanaise a inexplicablement gâché sa plus belle chance de briller. Déjà dans le top 15 mondial chez les grands, elle avait fait des Mondiaux Juniors 2012 son grand objectif.
Crédit : Victor International 6 titres mondiaux en 6 éditions, voilà ce que représentent le trio Intanon-Okuhara-Yamaguchi. Le seul fait d’arme de Taï Tzu Ying chez les juniors se résume finalement à une médaille d’argent lors des championnats d’Asie 2009 . C’est probablement en 2012 que la Taïwanaise a inexplicablement gâché sa plus belle chance de briller. Déjà dans le top 15 mondial chez les grands, elle avait fait des Mondiaux Juniors 2012 son grand objectif.
Crédit : Victor International
Dans l’ombre d’une génération dorée, Taï Tzu Ying était condamnée à jouer les seconds rôles. Très loin d’imaginer ce que le destin allait lui réserver, la pépite de Taipei n’a pas brillé chez les juniors. Il faut dire que lorsque vous avez Intanon Ratchanok, Akane Yamaguchi, Nozomi Okuhara, Sun Yu, P.V Sindhu ou encore Busanan Ongbamrungphan dans vos tableaux, tout à tendance à devenir plus compliqué. Plus jeune championne du monde de l’histoire, Intanon Ratchanok a passé 29 semaines en tête du ranking junior en 2011. En 2013, c’est Nozomi Okuhara qui passe plus de 50 semaines en tête de ce classement, un record qui n’a été battu que par Akane Yamaguchi et ses 630 jours de domination.
6 titres mondiaux en 6 éditions, voilà ce que représentent le trio Intanon-Okuhara-Yamaguchi. Le seul fait d’arme de Taï Tzu Ying chez les juniors se résume finalement à une médaille d’argent lors des championnats d’Asie 2009 . C’est probablement en 2012 que la Taïwanaise a inexplicablement gâché sa plus belle chance de briller. Déjà dans le top 15 mondial chez les grands, elle avait fait des Mondiaux Juniors 2012 son grand objectif.
6 titres mondiaux en 6 éditions, voilà ce que représentent le trio Intanon-Okuhara-Yamaguchi. Le seul fait d’arme de Taï Tzu Ying chez les juniors se résume finalement à une médaille d’argent lors des championnats d’Asie 2009 . C’est probablement en 2012 que la Taïwanaise a inexplicablement gâché sa plus belle chance de briller. Déjà dans le top 15 mondial chez les grands, elle avait fait des Mondiaux Juniors 2012 son grand objectif.
Alors qu’elle venait de remporter son premier Super Series à seulement 18 ans au Japon (!), Taï fait le choix fort de ne pas participer à la tournée d’octobre pour se concentrer sur son but ultime : le titre mondial chez les juniors. Pourtant, son histoire chez les jeunes va se terminer brutalement. Terriblement, même. Face à Sun Yu, la tête de série 1 est tombée. En ce jour maudit où Viktor Axelsen disait lui aussi adieu aux juniors après deux médailles consécutives (or en 2010 et argent en 2011), en ce jour maudit où aucune tête de série 1 n’atteignait les finales. En 2012, il aurait fallu être fou pour oser croire une seule seconde à ce que le destin allait réserver à Taï Tzu Ying.
Alors qu’elle venait de remporter son premier Super Series à seulement 18 ans au Japon (!), Taï fait le choix fort de ne pas participer à la tournée d’octobre pour se concentrer sur son but ultime : le titre mondial chez les juniors. Pourtant, son histoire chez les jeunes va se terminer brutalement. Terriblement, même. Face à Sun Yu, la tête de série 1 est tombée. En ce jour maudit où Viktor Axelsen disait lui aussi adieu aux juniors après deux médailles consécutives (or en 2010 et argent en 2011), en ce jour maudit où aucune tête de série 1 n’atteignait les finales. En 2012, il aurait fallu être fou pour oser croire une seule seconde à ce que le destin allait réserver à Taï Tzu Ying.