L’héritage de Pullela Gopichand
Dans le panorama du badminton indien, un nom résonne comme celui d’un père fondateur : Pullela Gopichand. Joueur emblématique, il est le second badiste du pays à remporter le prestigieux All England en 2001, ainsi qu’une médaille de bronze aux Jeux du Commonwealth 1998. A la fin de sa carrière, il entame une carrière de coaching auprès de l’encadrement national indien et crée la Gopichand Badminton Academy en 2008, prêt à élever la nouvelle génération et déceler les talents de demain.
Dans le panorama du badminton indien, un nom résonne comme celui d’un père fondateur : Pullela Gopichand. Joueur emblématique, il est le second badiste du pays à remporter le prestigieux All England en 2001, ainsi qu’une médaille de bronze aux Jeux du Commonwealth 1998. A la fin de sa carrière, il entame une carrière de coaching auprès de l’encadrement national indien et crée la Gopichand Badminton Academy en 2008, prêt à élever la nouvelle génération et déceler les talents de demain.
Un tournant dans l’histoire du badminton indien et de ses millions de pratiquants potentiels, qui ne demandaient qu’à éclore. Pullela Gopichand participe grandement à l’explosion d’une première pépite : une certaine Saina Nehwal. Premier prodige de la BAI, elle débute sa carrière en 2006, et marque les esprits en devenant la première championne du monde juniors du pays. Un signal fort, dans une contrée où le badminton féminin peine alors à exister.
Aujourd’hui, Nehwal comptabilise 10 titres Super Series à son actif, une médaille d’or aux Jeux du Commonwealth acquise en 2010, ainsi qu’une médaille d’argent lors des mondiaux de 2015. Néanmoins sa plus grande réussite est sa médaille de bronze acquise aux jeux Olympiques d’été de 2012 à Londres. Elle devient la première sportive indienne à décrocher un podium sur la compétition suprême toutes disciplines confondues. Elle gagne par la même occasion le statut d’icône, et devient une star bien au-delà des frontières de son sport à domicile.
Aujourd’hui, Nehwal comptabilise 10 titres Super Series à son actif, une médaille d’or aux Jeux du Commonwealth acquise en 2010, ainsi qu’une médaille d’argent lors des mondiaux de 2015. Néanmoins sa plus grande réussite est sa médaille de bronze acquise aux jeux Olympiques d’été de 2012 à Londres. Elle devient la première sportive indienne à décrocher un podium sur la compétition suprême toutes disciplines confondues. Elle gagne par la même occasion le statut d’icône, et devient une star bien au-delà des frontières de son sport à domicile.
Un tournant dans l’histoire du badminton indien et de ses millions de pratiquants potentiels, qui ne demandaient qu’à éclore. Pullela Gopichand participe grandement à l’explosion d’une première pépite : une certaine Saina Nehwal. Premier prodige de la BAI, elle débute sa carrière en 2006, et marque les esprits en devenant la première championne du monde juniors du pays. Un signal fort, dans une contrée où le badminton féminin peine alors à exister.
Aujourd’hui, Nehwal comptabilise 10 titres Super Series à son actif, une médaille d’or aux Jeux du Commonwealth acquise en 2010, ainsi qu’une médaille d’argent lors des mondiaux de 2015. Néanmoins sa plus grande réussite est sa médaille de bronze acquise aux jeux Olympiques d’été de 2012 à Londres. Elle devient la première sportive indienne à décrocher un podium sur la compétition suprême toutes disciplines confondues. Elle gagne par la même occasion le statut d’icône, et devient une star bien au-delà des frontières de son sport à domicile.
Aujourd’hui, Nehwal comptabilise 10 titres Super Series à son actif, une médaille d’or aux Jeux du Commonwealth acquise en 2010, ainsi qu’une médaille d’argent lors des mondiaux de 2015. Néanmoins sa plus grande réussite est sa médaille de bronze acquise aux jeux Olympiques d’été de 2012 à Londres. Elle devient la première sportive indienne à décrocher un podium sur la compétition suprême toutes disciplines confondues. Elle gagne par la même occasion le statut d’icône, et devient une star bien au-delà des frontières de son sport à domicile.
Un coaching gagnant pour l’ensemble du staff indien. Le premier d’une longue liste qui tend à dangereusement s’agrandir. Dans l’ombre de l’éphémère numéro 1 mondiale du simple dames, Kashyap Parupalli a aussi su faire parler de lui. Pas de titres Super Series en poche, mais un nombre important d’accessits qui l’amèneront alors jusqu’à la 6ème place du classement mondial. Lui devient le premier athlète indien masculin à atteindre les quarts de finales aux Jeux Olympiques de Londres en 2012. Comme Nehwal, il s’adjuge aussi l’or aux Jeux du Commonwealth, en 2014 à Glasgow. Les blessures l’empêcheront de poursuivre sur cette dynamique, mais le terreau est fertile, et les graines nombreuses à vouloir éclore.
Un coaching gagnant pour l’ensemble du staff indien. Le premier d’une longue liste qui tend à dangereusement s’agrandir. Dans l’ombre de l’éphémère numéro 1 mondiale du simple dames, Kashyap Parupalli a aussi su faire parler de lui. Pas de titres Super Series en poche, mais un nombre important d’accessits qui l’amèneront alors jusqu’à la 6ème place du classement mondial. Lui devient le premier athlète indien masculin à atteindre les quarts de finales aux Jeux Olympiques de Londres en 2012. Comme Nehwal, il s’adjuge aussi l’or aux Jeux du Commonwealth, en 2014 à Glasgow. Les blessures l’empêcheront de poursuivre sur cette dynamique, mais le terreau est fertile, et les graines nombreuses à vouloir éclore.