172 tickets d’or à distribuer
Pour avoir la chance de participer aux Jeux de la 33ème olympiade qui se dérouleront à Paris du 26 juillet au 11 août 2024, chaque athlète devra décrocher l’un des 172 précieux sésames mis en jeu. Cependant, si l’on retranche les deux places réservées au pays hôte ainsi que les quatre invitations qui seront distribuées par une commission tripartite (regroupant le Comité International Olympique, les Fédérations Internationales ainsi que les Comités Nationaux Olympiques), seulement 83 places qualificatives seront en jeu chez les hommes comme chez les femmes. Pour les athlètes, mieux vaut cependant se focaliser sur deux choses : le nombre de places accordées dans leur discipline, ainsi que leur rang national.
En simple, 35 places qualificatives seront à aller chercher, ajoutées aux deux invitations ainsi qu’à une place réservée à la France. Ne nous y trompons pas : figurer dans les 35 meilleurs joueurs mondiaux ne suffira évidemment pas. Premièrement, un Comité National Olympique (CNO) ne pourra envoyer que deux représentants maximums, si et seulement si au moins deux de ses athlètes figurent dans le top 16 mondial au 28 avril 2024. Dans le cas contraire, un seul représentant pourra prendre part aux prochains Jeux Olympiques. Autre paramètre à prendre en compte : parmi ces 35 concurrents, au moins un athlète de chaque confédération devra être représenté.
En double, la donne est plus simple, et à la fois plus cruelle. Avec seulement 16 paires par tableau réparties dans 4 poules, pas de places pour des invitations. Concernant la représentation de chaque confédération, elle se fera uniquement si la paire figure parmi les 50 meilleures mondiales. Là aussi, les CNO ne pourront envoyer qu’au maximum deux paires pour les représenter. Seulement, la donne est encore plus compliquée. En effet, pour que deux paires du même pays soient du voyage à Paris, elles devront figurer dans le top 8 mondial.
Il est à noter qu’en simple comme en double, un CNO qui aurait le luxe de compter plus de deux athlètes dans le top 16 ou le top 8 aurait le choix et le pouvoir de décider d’envoyer aux Jeux un joueur ou une paire moins bien classée qu’une autre, même si cela paraîtrait aussi injuste qu’improbable.
Crédit : Chloé Millet
Pour avoir la chance de participer aux Jeux de la 33ème olympiade qui se dérouleront à Paris du 26 juillet au 11 août 2024, chaque athlète devra décrocher l’un des 172 précieux sésames mis en jeu. Cependant, si l’on retranche les deux places réservées au pays hôte ainsi que les quatre invitations qui seront distribuées par une commission tripartite (regroupant le Comité International Olympique, les Fédérations Internationales ainsi que les Comités Nationaux Olympiques), seulement 83 places qualificatives seront en jeu chez les hommes comme chez les femmes. Pour les athlètes, mieux vaut cependant se focaliser sur deux choses : le nombre de places accordées dans leur discipline, ainsi que leur rang national.
En simple, 35 places qualificatives seront à aller chercher, ajoutées aux deux invitations ainsi qu’à une place réservée à la France. Ne nous y trompons pas : figurer dans les 35 meilleurs joueurs mondiaux ne suffira évidemment pas. Premièrement, un Comité National Olympique (CNO) ne pourra envoyer que deux représentants maximums, si et seulement si au moins deux de ses athlètes figurent dans le top 16 mondial au 28 avril 2024. Dans le cas contraire, un seul représentant pourra prendre part aux prochains Jeux Olympiques. Autre paramètre à prendre en compte : parmi ces 35 concurrents, au moins un athlète de chaque confédération devra être représenté.
En double, la donne est plus simple, et à la fois plus cruelle. Avec seulement 16 paires par tableau réparties dans 4 poules, pas de places pour des invitations. Concernant la représentation de chaque confédération, elle se fera uniquement si la paire figure parmi les 50 meilleures mondiales. Là aussi, les CNO ne pourront envoyer qu’au maximum deux paires pour les représenter. Seulement, la donne est encore plus compliquée. En effet, pour que deux paires du même pays soient du voyage à Paris, elles devront figurer dans le top 8 mondial.
Il est à noter qu’en simple comme en double, un CNO qui aurait le luxe de compter plus de deux athlètes dans le top 16 ou le top 8 aurait le choix et le pouvoir de décider d’envoyer aux Jeux un joueur ou une paire moins bien classée qu’une autre, même si cela paraîtrait aussi injuste qu’improbable.