Reprise des compétitions, Nouveaux coefs pour le classement? - Page 8
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Reprise des compétitions, Nouveaux coefs pour le classement?

Démarré par Bresilien, 27 Juillet 2020, 18:44

Ah enfin on parle du fait de choisir ICManager, site qui posait de nombreux problèmes aux capitaines et sans améliorations notables, pour développer ICBad est une hérésie. Mais comme dit plus haut le fait qu'il s'agisse d'une personne précédemment élue au CA est totalement étranger à cela...

Sinon pour Renaud, nous sommes en 2020 je pense qu'il est sympa de suivre en temps réel les matchs de nos équipes. Et je te rassure il n'y a pas que 2/3 clubs d'élite qui le font mais de nombreuses équipes en N2/N3 diffusent leurs matchs. Et pour rappel la saison dernière la diffusion live des scores était obligatoire en TOP12. De plus ne pas oublier qu'au Tennis de table par exemple tous les matchs de première division masculine et féminine sont diffusés sur Internet. Mais bon on parle d'une fédération qui montre des matchs de ses championnats de France avant les quarts de finale....

Et pour organiser des tournois/ arbitrer des matchs je peux t'assurer que l'apport de Badnet par rapport aux solutions gratuites est non négligeable. Ne pas oublier que le temps humain se valorise également. Et au niveau confort/simplicité/fiabilité c'est également le jour et la nuit.

Enfin il y a également une autre solution clés en mains qui a été suggérée mais rapidement écartée alors qu'elle présentait également toutes les garanties pour un bon déroulement...

Et on ne va pas parler de Poona....

Citation de: zeugma le 22 Septembre 2020, 11:40
Et merci à Badmania de nous laisser cet espace d'expression et aux plaisirs de retrouver les gymnases pour partager notre passions mais aussi des aspirations collectives.
Aucun souci zeugma, nous vous demandons juste de rester correct dans vos propos pour faire avancer le débat intelligemment :)
A votre service :)

En parlant de nouveaux classments, avez vous reçu le mail de la fédé avec le mot du président? Moi oui, mais je n'arrive à l'ouvrir ni de mon téléphone ni de mon ordi...et vous?

Citation de: polo26 le 24 Septembre 2020, 19:16
En parlant de nouveaux classments, avez vous reçu le mail de la fédé avec le mot du président? Moi oui, mais je n'arrive à l'ouvrir ni de mon téléphone ni de mon ordi...et vous?
Salut Polo26,Oui j'ai reçu aussi son mail et j'ai aussi eu du mal à télécharger le fichier (impossible sur mon tél).C'est assez intéressant...Dommage je ne peux pas le mettre en PJ, il n'accepte pas les PDF.  :rolleyes:

Et tous les tournois que je vois autour de moi sont regroupés par classement :  un tableau N, un tableau R et un tableau D...
Vive le cpph


Si le projet glicko annoncé est juste ça semble pour une fois prometteur.

Yonex astrox 100 zz 

Yonex nanoflare 1000 z

Yonex astrox 99 pro 

Victor jetspeed s10

Lining halbertec 8000

String hybrid

 

 

 


Donc dans la même lettre il nous dit que les matchs doivent être mixtes, que les matchs de jeu libre doivent être pris en compte et que le glicko va être utilisé
Désolé mais pour connaître pas mal le monde du jeu d'échecs c'est aller droit dans le mur. Il serait pas mal de se renseigner un minimum sur les (trop) nombreuses dérives de ce système...

Pour ceux qui n'arriveraient pas à ouvrir le courrier:

Chère compétitrice, cher compétiteur
Les récentes difficultés rencontrées avec la mise en ligne des nouvelles cotes et
rangs des compétiteurs nécessitent des explications.
Un des défauts du classement CPPH est sa nature intrinsèquement
inflationniste : les défaites ne comptant pas, il y a depuis sa mise en place en
2015 une dérive constante des cotes vers le haut. Les séries étant bornées en
cotes, les N1 par exemple, sont devenus de plus en plus nombreux (avec
suffisamment de temps, un joueur médiocre de mon niveau mais très actif aurait
pu finir N1 ! .

Pour corriger ce problème, il a été décidé un recalcul général des cotes de tous
les compétiteurs depuis l’origine soit sur 5 saisons sportives. Il ne s’agit pas
d’une réforme du classement qui reste structurellement identique à ce qu’il était
jusque-là, mais d’un recalcul dont les modalités précises ont été fournies à notre
prestataire informatique. Ce dernier a commis une erreur de programmation ce
qui a conduit à des résultats aberrants malheureusement mis en ligne avant que
nous ne puissions les vérifier et intervenir.

Depuis, l’erreur a été corrigée et le classement actuel représente assez bien le
niveau de jeu des joueurs. Vous pourrez constater que même si votre cote a
beaucoup diminué, votre rang est resté à peu près le même. Peu importe que
vous ayez changé de série, les autres joueurs de votre niveau aussi, et vous les
retrouverez donc lors de vos tournois Il y a des exceptions pour certains dont les
résultats en double ou en mixte ont entraîné des erreurs d’évaluation sur leur
cote en simple, par exemple.

La fédération encourage les organisateurs à tenir compte des rangs des joueurs
plutôt qu’à l’appartenance à une série bornée un peu arbitrairement par nature.
Elles sont en pourcentage des effectifs totaux, ce qui explique qu’il y ait moins de
N1 féminines que masculines. Reste que les 100 meilleures féminines de la
fédération sont les 100 meilleures, et qu’un tableau peut parfaitement être
construit sur l’appartenance à l’intervalle rang 1 – rang 100, plutôt que sur N1 et
N2.

Plus généralement, cet épisode malheureux me conduit à vous proposer ma
vision de l’état des lieux au sujet du classement.

Un classement fiable est indispensable pour l’organisation des compétitions :
l’attrait des matchs dépend en effet directement de l’écart de niveau de jeu entre
les participants. S’il est trop important, le match n’a plus d’intérêt ni pour le
gagnant, ni pour le perdant. C’est donc un enjeu crucial pour une fédération
sportive, olympique qui plus est.

Tout d’abord un rappel historique de la période récente. L’olympiade précédente
a démarré avec le CPPP. Il présentait quelques défauts bien documentés. La
fédération a souhaité le remplacer en 2015 par le CPPH, construit sur une
philosophie complètement différente. Membre du conseil d’administration fédéral,
je m’étais personnellement intéressé au sujet ayant une modeste culture
scientifique me permettant quand même d’en comprendre les mécanismes. Ce
classement en projet était fondé sur des principes simples et, en apparence du
moins, pertinents :
 La valorisation de la victoire : le niveau atteint dans la compétition,
peu importe contre qui, rapporterait d’autant plus de points que le
compétiteur serait allé loin dans son déroulement. Les défaites ne
seraient plus comptabilisées.
 La valorisation des tournois : mieux les participants seraient
globalement classés et plus il y aurait de points attribués à
parcours équivalent.
 Favoriser la pratique intensive de la compétition.
 Se rapprocher du classement international.
D’emblée hostile à cette réforme, j’ai pourtant été invité à participer à la
commission classement dont le responsable voulait me convaincre de la validité
du projet.

Il n’en a rien été, et j’ai persisté à alerter sur les menaces que je prévoyais :
 Je ne reviens pas sur l’aspect structurellement inflationniste et le
bornage inadéquat des séries exposés plus haut.
 Seuls les 8 puis 6 meilleurs résultats d’un joueur étaient
conservés : il est évident que cela favorise beaucoup les joueurs
très actifs en comparaison de ceux qui le sont moins.
 Le CPPH n’était pas applicable aux interclubs et pour ceux-ci un
algorithme différend devait être mis en place. Difficile de maintenir
une cohérence avec la cohabitation de deux algorithmes différend.
Que dis-je, deux, non, trois, puisqu’il y a aussi les promobads
avec encore un autre système d’attribution des points.
 Contrairement à l’international, la cohorte des joueurs nationaux
est bien plus largement éclatée en niveau de jeu. Nos paires sont
aussi beaucoup moins homogènes !

En fait la question de fond qu’il fallait se poser était : le classement doit-il être
une récompense pour les joueurs ayant une activité la plus proche possible de
celle souhaitée par la fédération, ou bien la mesure la plus précise possible du
niveau de jeu de chacun ? Le CPPH résulte du premier choix, je défendais le
second.

Un point très positif de la réforme a été le « H » : l’évolution hebdomadaire du
classement était un gros progrès sur l’ancienne mise à jour biannuelle. Dès la
mise en place du CPPH cependant, les dérives prévues se sont manifestées.
C’est ce qui m’a déjà conduit lors de l’assemblée générale élective de novembre
2016 à affirmer la nécessité d’une nouvelle réforme du classement. J’ai donc,
dès mon élection, demandé à une licenciée FFBaD, compétitrice et statisticienne
professionnelle avec qui j’avais beaucoup échangé de piloter le classement.
Sous son autorité, la première saison de cette olympiade a donc été consacrée à
l’écriture dans un langage adapté d’un programme permettant de simuler dans
un temps raisonnable l’effet des modifications de l’algorithme sur le classement,
ce qui n’était jusque-là pas possible.

La deuxième saison a la tentative de correction des plus gros défauts du CPPH.
(Il est cependant vite apparu que chaque rustine entrainait le surgissement d’un
nouveau problème, il était à craindre que ce soit sans fin)
Puisque les défauts inhérents au CPPH étaient dans son ADN, la troisième, a été
consacrée à étudier quel algorithme pouvait être envisagé pour remplacer le
CPPH : C’est vers la famille des classements Elo que nous nous sommes
tournés : ces systèmes de classement font référence dans la littérature
scientifique du domaine et sont adoptés depuis longtemps dans de nombreux
sports ou disciplines (Le CPPP en était d’ailleurs bien plus proche que ne l’est le
CPPH). Une longue étude a été menée par des statisticiens bénévoles et par
une Junior Entreprise d'une école d'ingénieurs en statistiques, pour comparer les
performances de différentes variantes de ces algorithmes appliquées aux
données Poona. Les résultats, présentés à l'été 2019, préconisaient l'adoption de
l'algorithme appelé "Glicko 1", particulièrement applicable au badminton et aux
performances significativement meilleures que le CPPH.

Et enfin la quatrième devait être celle de la mise en ½uvre d’une nouvelle
réforme du classement qui devait être en place à la rentrée sportive 2020.
Pour notre malheur, les choses ne se sont pas déroulées comme nous l’aurions
souhaité : un retard dans la validation du fonctionnement de Glicko 1 pour le
badminton puis une saturation totale des capacités numériques fédérales
secondaires à la mise en place prioritaire, attendue par tous les dirigeants, du
logiciel de compétition fédéral et de la marketplace permettant l’inscription aux
tournois et le paiement en ligne de cette dernière, de même que celui de la
licence et de la cotisation au club nous a hélas conduit à repousser d’un an la
réforme pourtant souhaitée pour la fin de cette olympiade.

Quels sont les grands principes de cette réforme basée sur Glicko 1 : Les
résultats de tous les matchs quelques qu’en soient les circonstances sont les
mêmes quant à leur effet sur le classement des protagonistes et fonction de leurs
classements d’avant le match : pour gagner significativement des points, il faut
battre des joueurs mieux classés. Les défaites comptent d’autant plus qu’elles
résultent de la rencontre avec un joueur moins bien classé.

J’ai entendu certains dire « encore une réforme du classement » en parlant des
modifications introduites pendant l’olympiade pour tenter de corriger les défauts
les plus évidents : et bien non, il n’en n’est rien : il y aura eu le CPPP jusqu’en
2015, puis le CPPH et enfin je l’espère il y aura à la rentrée 2021 Glicko 1 qu’il
faudrait peut-être appeler le CPR, pour « classement par rang ». Je crois en effet
qu’il vaudrait mieux construire les tableaux sur des joueurs plus proches en rang.
Ce serait la formule la plus simple et la plus compréhensible pour tous : meilleur
français, top 5, 10, 50, N1 (= Top 100 ?) et ainsi de suite. Je serais 40.350 eme
sur 50.458 compétiteurs, c’est clair, je vois mes progrès éventuels et ma marge
de progression possible. Et je peux facilement l’expliquer en dehors de la famille
du bad. Les organisateurs constitueront les tableaux en regroupant des joueurs
du tantième rang au tantième rang.

Concernant la compétition dont je ne suis pourtant pas un spécialiste, je profite
de cette mise au point pour aborder deux autres sujets qui me tiennent beaucoup
à c½ur.
:
 La mixité intégrale. Souvent, à l’entraînement, des filles jouent contre des
garçons. Comme déjà exposé, pour qu’un match de badminton soit
intéressant, il faut que les niveaux de jeu de part et d’autre du filet soit
assez proche pour qu’il y ait un enjeu. La fédération a de longue date
ouvert la porte à la différence d’âge, encore que ce ne soit pas assez
utilisé à mon goût (pourquoi faire faire des km et passer beaucoup de
temps en transport pour faire jouer des jeunes dans leur catégorie d’âge
alors qu’ils auraient de l’opposition locale dans d’autres tranches d’âge ?).
Le même raisonnement doit être tenu pour le sexe. Il faut autoriser les
filles à s’affronter aux garçons, si elles le souhaitent, en compétition
officielle comptant pour le classement. Il suffit de créer deux nouvelles
disciplines, le simple et le double (qui ne donneront pas lieu à
championnats, évidemment). Les organisateurs pourront construire des
tableaux dans les sept disciplines auxquels s’inscriront ceux qui le
souhaitent. Pour le moment, les classements ne correspondent pas, mais
dès que cette nouvelle pratique sera autorisée, très rapidement la
correspondance niveau féminin/niveau masculin pourra être documentée.
Notre sport sera enfin réellement universaliste, totalement inclusif :
« L’esprit Bad » !

 L’ouverture des formats de compétition moins chronophages et plus
faciles à organiser. Notre offre actuelle satisfait environ un tiers de nos
licenciés, dont vous êtes ; conservons là ! Elle a d’ailleurs été améliorée :
la vie sportive a revisité avec succès les compétitions déjà pratiquées en
assouplissant et élargissant les règlements : poules uniques de 6 et de 7,
par exemple. Les deux autres tiers de nos licenciés sont dits « loisirs ».
Pour beaucoup d’entre eux, lorsqu’ils participent à un entraînement « jeu
libre », après leur échauffement ils font une partie, puis une autre et ainsi
de suite jusqu’à la fin du créneau ou la grande fatigue. Il y a des gagnants
et des perdants. Et ce ne seraient pas des compétiteurs ? Bien sûr que si,
mais ils ne trouvent pas leur bonheur dans notre offre actuelle. Nous
devons donc élargir notre offre en simplifiant l’accès à cette pratique, ce
que permettent plus facilement les moyens numériques modernes.
Objectif : « Tous compétiteurs ».
Vous avez encore des questions, des remarques ou des critiques ? La
commission classement souhaite en prendre connaissance, faites-nous-les
remonter.

Pour transmettre votre message, rendez-vous sur le site
https://support.ffbad.org/open.php, dans la rubrique « Vie du licencié / Résultats
& Classements ».

Florent CHAYET
Président de la Fédération Française de Badminton
Li Ning TC 75 - 11kg KSB 65TI
Yonex Duora 7  - 12kg KSB 65TI
Asics Gel Fastball 3


Je trouve intéressant l'idée que l'on s'aide du Classement Glicko qui est visiblement un système éprouvé. Peut-être contient-il quelques failles, mais quel système est infaillible...
Je vois également qu'il existe des scripts tout faits qui permettent d'implémenter ce classement très rapidement d'un point de vue informatique.
Il est étrange que cela prenne tant de temps à mettre en place.

Merci à  B2ODA d'avoir posté le message entier du Président.

A ce que je lis, le système de la Fédé est à peu le même que le système politique Français -> une oligarchie. Une fois élus, les dirigeants n'écoutent pas particulièrement les adhérents ni leurs représentants, il y aurait des affaires de "corruption", les avis internes divergent. Y aurait il du rififi à la Fédé ? Je ne suis même pas surpris, mais très déçu. Pour moi qui n'ait pas encore repris ma licence, cela ne m'encourage pas à le faire. Payer un club oui, la Fédé non.
Je vois que, malgré l'argent supplémentaire récolté, la Fédé n'est pas parvenue à mettre en place un système pleinement fonctionnel lors de cette rentrée de septembre 2020.

J'étais intéressé pour comprendre le calcul du nouveau classement. De ce que je comprends, sa mise en place va attendre 2021.
"Glicko 1 : Les résultats de tous les matchs quelques qu’en soient les circonstances sont les mêmes quant à leur effet sur le classement des protagonistes et fonction de leurs classements d’avant le match"
Cela voudrait dire que l'on oublie les pondérations fonctions du niveau de l'instance organisatrice, du type de compétition, du stade atteint dans la compétition ? Pour le niveau d'instance et le type de compétition je suis en accord mais une victoire en poule aurait elle la même valeur qu'une finale jouée ? Quid de la vitesse de "descente" ? Directement dépendante des joueurs qui "montent" ? Avec ce système, continuera t'il d'y avoir des joueurs/euses de bon niveau au pratique et mal classés qui rendront sans intérêt certains tableaux ?

Je suis perplexe.

des affaires de corruption à la fédé, vous pouvez nous en dire plus??????

Le système Glicko a été expliqué sur une autre page du forum et tout est trouvable sur Internet puisqu'il s'agit d'un système utilisé, éventuellement avec des adaptations, dans de nombreuses discipline (Echecs, Counter Strike GO, etc...). C'est dérivé du système ELO.
Pour faire simple, on revient à l'ancien système de classement en ne prenant en compte que l'adversaire. Ce qui n'est pas illogique (pourquoi battre le même joueur en poule, en finale puis le lendemain en IC devrait impacter différemment ma moyenne ?) même si on perd l'impact de la progression dans le tournoi. Selon les tournois, le stade atteint n'est pas forcément le reflet de ton niveau mais celui de ta réussite au tirage au sort (on a tous connu le tournoi avec un épouvantail à éviter le plus longtemps possible).
Chaque match va te faire gagner des points (victoire) ou t'en faire perdre (défaite). Le nombre de points à gagner ou à perdre, va dépendre de 3 critères :
Le niveau de ton adversaire (plus ta victoire est "normale" moins tu marques de points, plus ta défaite est "normale" moins tu perds de points et inversement)
La fiabilité de ton classement (plus tu as de résultat sur une période donnée, plus ton classement est considéré comme fiable)
La fiabilité du classement de ton adversaire (même principe)
Si ton classement n'est pas fiable, tes résultats valent beaucoup plus de points (on considère que le match que tu viens de jouer à plus de valeur pour situer ton "vrai" niveau) et inversement.
Si le classement de ton adversaire n'est pas fiable, le résultat du match à peu de valeur (peut-être que ton adversaire est beaucoup plus/moins fort que ce qu'indique son classement)
Il faut juste garder en mémoire que cela concerne aussi bien les victoires que les défaites. Un joueur avec un classement peu fiable va donc monter (mais aussi descendre) beaucoup plus rapidement.
Sur le principe, ça a pas l'air mal et le fait que ce soit utilisé dans pas mal de discipline laisse penser que c'est le cas. Il y a sans doute des inconvénients et forcément il restera le problème des joueurs avec peu d'activité même si le système tente de le prendre en compte.

bonjour, je voudrai savoir quelle et la logique des fameux points covid (ceux acquis entre mars et juillet 2019) .ils vont donc être actifs jusqu'à mars juillet 2021.mais les point acquis  en septembre 2019(soit après la période mars juillet) eux ont disparus !!! n'aurait-il pas été plus juste de soit garder l'année  entière soit faire un glissement de 6 mois . En plus de ça les points paris fin septembre n'ont pas pus être rattrapé dans certaines régions a causes des fermeture des gymnases.