Election FFBaD - Bad 2028, le pari des expériences, emmenée par J-M Richard

Bonjour Jules Verne 2030,

Voici nos réponses, en vous souhaitant une très bonne journée et fin de semaine.

A)   On le voit bien dans cette crise sanitaire (avec des stops and go), les espaces de pratique de notre discipline (animation, entrainement, compétition, événementiel) dépendent essentiellement des collectivités territoriales, y compris pour les non-affiliés. Par ailleurs des espaces sous gestion privé se développent (d’ailleurs le football et le tennis, on le plus grand nombre d’espaces et de pratiquants). Quels argumentaires proposez-vous pour amplifier nos espaces de pratiques, de promotion, de compétition ?

Nous avons la volonté d’accompagner tous les projets d’équipements sportifs et de salles spécifiques. Nous devons avoir connaissance des projets en amont, ce au début de la genèse du projet. Il faut que les directives techniques soient prises en comptes par les architectes (pas de belles verrières qui rendent la pratique impossible). Les ligues doivent placer des représentants dans les Agences régionales du Sport et les conférences des financeurs. Il nous faut nous rapprocher de l’ANS équipement et de l’Association des Régions de France. Un travail particulier sur les féminines, le parabadminton, les personnes en situation de handicap mais également se rapprocher du monde de  l’entreprise, cela permettra de proposer de nouveaux services et développer de nouvelles ressources. C’est aussi développer de nouvelles formules de jeu moins chronophages, moins règlementée, moins contraignantes pour fidéliser nos pratiquants.

B)   Les nouveaux statuts prévoient la mise en place d’un haut conseil, avec une représentation plus large de collège et une méthodologie innovante de participation des clubs et des licenciés. Quel est votre plan d’actions pour le mettre en ½uvre et équilibrer les pouvoirs entre COMEX et haut conseil?

La fédération a entamé la réforme de la gouvernance il faudra la poursuivre dans le sens voulu par l’état vers plus de démocratie. Il faudra rapidement organiser l’élection des différents collèges Le haut-conseil devra s’emparer des dossiers pour vérifier que les travaux sont conformes avec le projet et surtout que la gestion des finances est conforme aux règles certifiées par la Commissaire aux Comptes. Il nous faudra bien évidement créer un groupe de travail qui devra préciser le fonctionnement de ce haut-conseil.

C)   Vous aurez un mandat électif inédit avec deux sessions de Jeux olympiques et paralympiques. En quoi est-il important de confier des responsabilités à des sportifs passés par le circuit jeunes (des Trophées et championnat de France, du circuit européen et mondial), des structures d’entrainement de la filière du haut niveau ?

L’état est de plus en plus présent, dans la gestion du haut niveau, avec la création de l’ANS haute performance et la rédaction de la directive Ambition bleue. Il incombe donc à la fédération de gérer l’accès à la haute performance. Nous devrons nous appuyer sur les outils existants EFB, Club Avenir, Pôle Espoir en revoyant certains critères Le but et de disposer de plus de CA pour obtenir un meilleur maillage du territoire et permettre la détection et le suivi des joueurs qui sont actuellement isolés. C’est aussi revoir les règlements des circuits jeunes et championnat de France mais cela passera par le retour d’expérience du terrain en mettant en place un groupe de travail qui fasse des propositions pour rendre le circuit plus efficace et en adéquation des attentes des différents acteurs.
Nous devrons également rapidement réfléchir à l’optimisation des moyens. Ne pas s’interdire d’envisager la création d’un centre unique Notre sport est un sport d’opposition cette option permettrait de disposer de tous les joueurs et entraineurs pour mettre les joueurs dans les meilleures dispositions. La possibilité d’organiser des compétitions de niveau européen ou mondial en France ne fera que renforcer ce fonctionnement.

D)   Les affaires (de harcèlement sexuel, de discrimination, de dopage, de triche, de radicalisation…) impactent la société, le sport. Notre discipline semble faussement préservée mais les attentes sont fortes des pouvoirs publics et de la société de responsabiliser les fédérations rapidement en la matière. Comment allez-vous y répondre ?

La société évolue, pas toujours dans le bon sens. La parole s’est libérée La fédération a signé une convention avec Colosse aux pieds d’argile. Nous allons organiser des réunions de sensibilisation auprès des organes déconcentrés et déployer le dispositif en fournissant un fascicule qui regroupe toutes les bonnes pratiques mais aussi et surtout les signes qui permettent d’identifier d’éventuelles problèmes le bon comportement et le moyen de signaler ces faits. Deux référents seront désignés pour suivre ce dossier et accompagner les structures.

E)   Le programme présidentiel du candidat E.MACRON prônait une révolution de la gouvernance et du modèle économique, demandant aux fédérations de s’autonomiser, la crise impact cela tant sur le recours aux finances publics que privés. Vos programmes sont remplis de bonnes intentions y compris électoraliste. Quelle crédibilité y accorder, vos projets sont-ils budgétés, vos équipes ont-ils l’expérience réelle de mobilisation de financement public ou privé dans le badminton ?

Oui effectivement, nous constatons une dépendance forte, trop forte, des financements venant de nos licenciés dans les ressources fédérales. C’est d’autant plus visible depuis la crise sanitaire qui nous traverse. Nous voulons multiplier les sources, déjà via une approche vers l’économie sociale et solidaire (ESS) qui couvrirait une grande partie de nos actions sociétales, formations, emploi secteurs où les enveloppes nationales et européennes d’appels à projets ne sont pas épuisées, ensuite via une économie plus ‘’marchande’’ orientée Marketplace, partenariats…. Une hybridation des ressources en quelques sorte. Bien sûr tout ceci ne se fera en un claquement de doigt, nous nous appuierons sur de réelles compétences ainsi que sur les réseaux des spécialistes présents dans notre équipe.
Dans l’immédiat et pour faire face à l’urgence des méfaits de la crise sur notre fonctionnement, nous nous appuierons financièrement sur le plan de relance gouvernemental et sur des réaffectations budgétaires afin de prioriser la reconquête des licenciés perdus, c’est LA priorité absolue pour notre équipe. Cela doit permettre de passer 2021 sans trop d’encombre. Puis de manière plus opérationnelle et plus pérenne nous nous appuierons sur notre centre de ressources ; en effet celui-ci collectera de manière très documenté les projets sociétaux en réussite dans certains territoires (et nous avons eu connaissance  de remarquables réussites au cours de nos échanges avec les ligues) pour ainsi pouvoir les diffuser (exemple à l’appui) dans les territoires qui ne les ont pas encore mis en ½uvre ou qui se heurtent à des freins….ceci évitera de refaire les mêmes erreurs et permettra sans aucun doute d’accélérer les processus. Pour cela, des groupes de travail (avec un leadership au territoire expert) autour de ces axes à succès territoriaux pourront être mis en place afin de décliner/adapter cette réussite aux autres territoires. Ces retours d’expériences serviront aussi à définir les meilleures structures de l’ESS à implémenter pour coller à la demande du gouvernement mais aussi des élus locaux et des entreprises locales. Devons nous rappeler ici que le gouvernement a clairement fait savoir que le marché des JO 2024 serait fortement réservé aux entreprises  répondant aux exigences de l’ESS (plateforme ESS 2024). Quant aux compétences de notre équipe sur la mobilisation des financements publics et privés, nationaux et internationaux, je vous invite à prendre connaissance des CVs des membres qui la compose.

F)   Le dialogue avec les professionnels salariés et cadres d’Etat est un enjeux clef de la vie fédérale. Certain.es candidat.es des listes vivent exclusivement du badminton ou souhaite s’y reconvertir via la rémunération des dirigeants (cité dans l’interview sportmag, 21 shuttle et sur ce site). Quelle est votre position en la matière, comment organiserez-vous la vie et le dialogue social (notamment au siège fédéral)? Comment désignerez-vous votre DTN ?

Comme déjà répondu à un autre interlocuteur, la tache de président est à temps plein, n’étant ni rentier ni retraité je prendrai donc l’indemnité.
Un élu du conseil exécutif sera référent pour l’ensemble des salariés sur le dialogue social. Plus largement une réflexion sur les carrières et perspectives de carrières sera conduite et fera l’objet d’un audit, pour s’adapter aux besoins présents et préparer l’avenir.
Le DTN actuel a consacré une énergie folle et même plus à notre fédération, c’est une personne ouverte, humaine, constructive qui jusqu’à présent, et contrairement à certains de ses homologues d’autres fédérations, a fait preuve d’adaptation aux projets fédéraux. S’il survenait qu’il ne veuille pas collaborer à notre projet, nous serions contraints d’engager la procédure usuelle auprès du ministère pour lui trouver une ou un successeur. Mais clairement ce n’est pas une inquiétude à ce jour.

G)   Les sujets emplois /formation sont cruciaux dans la structuration d’une fédération, encore plus encore en sortie de crise! Nos encadrants sont à l’arrêt (ceux officiellement rémunérés, les autres aussi…) leur trajectoire d’emploi est souvent courte (avec un fort turn over) et perspectives professionnelles proposés limitées ; Peu s’engagent pour diversifier leurs compétences au-delà du compétitif (même dans ces périodes de confinement).Notre schéma d’offre de formation initiale et continue pour des publics captifs interne ou des encadrants sportifs externe (avec des allégements), est-il vraiment adapté aux besoins de sortie de crise et de structuration durable de nos activités, y compris pour accompagner les nouvelles attentes des pratiquant(e) s, sport santé, sport loisirs etc…?

Effectivement, l'emploi et la formation sont des leviers cruciaux , c'est pourquoi l'échelon national a validé (en 2014)une partie de la stratégie emploi ( PEC) revue en 2017 (observatoire de l'emploi, réseau des référents territoriaux, élargissement des critères, des structures pouvant se positionner..). Sur la formation, le développement de la stratégie validée en 2014 a été freiné par les réformes liées aux organismes de formations impactant la formation professionnelle mais aussi bénévoles. Notre filière "bénévoles", réformée à la fin de la dernière olympiade, doit s'interroger sur certains niveaux ou peu de personnes s'engagent. Le CQP doit être repensé ,la préfo doit être maintenue (passerelle vers le DE)  et l'arrivée de l'apprentissage doit être construite.

La réflexion et les travaux sur "posséder nos propres diplômes fédéraux" ,au vue des conditions actuelles, prennent tout leur sens. Concernant la diversification des compétences, des formations transversales existent (public pénitentiaire, séniors, para, fitminton....). Demain, en lien et cohérence avec les enjeux sociétaux, le développement, la fidélisation, les nouveaux public, il faut construire des modules , des formations certifiantes donc reconnues (santé, publics spécifiques ( déficients auditifs, mentaux), nouvelles pratiques (airbadminton, pratique estivale, découverte,  rackethlon..)

H)   J’entends ici ou là, que les élections seraient déjà bouclées par le processus de désignation des délégués-grands électeurs lors des assemblées générales des ligues. Qu’importe le projet et la campagne entre les candidats, les enjeux d’intérêt général, de pérennisation et de prospérité fédérale ne sont pas l’essentiel, je suis coopté pour voter pour cette liste ? Qu’en pensez-vous, comment allez-vous rassembler demain à 16 on ne fait pas tourner une fédération ?

J’espère profondément que vous avez tort. En tout cas nous sommes une équipe, construite autour d’un projet qui prend en compte les enjeux fondamentaux pour notre fédération. D’ailleurs pour se faire, en plus de personnes expérimentées du badminton, nous avons fait appel à des personnalités extérieures désireuses de s’engager dans le bénévolat pour leur expertise professionnelle, et leur capacité à nous fournir de précieux GAP de compétitivité pour employer un jargon entrepreneurial.
Ensuite, tout aussi fondamental, le fonctionnement fédéral sera revu pour plus de transversalité, éviter un discours uniquement descendant souvent hors sol, en renforçant le rôle du CPL et inviter les acteurs territoriaux à peser de tout leur poids dans les groupes de travail et commissions par exemple.

I)   L’avenir de la société repose sur sa jeunesse, moteur d’une résilience d’un pays face aux crises, nombreux défis de santé, d’éducation, de citoyenneté, d’insertion sociale et professionnelle y sont associés. Cela implique que les adultes en responsabilités donnent des réponses concrètes pour favoriser leurs pratiques sportives et l’engagement associatif (accès aux responsabilités, reconnaissance) de l’école à l’enseignement supérieur. Il est indispensable d’aller les conquérir tant dans les différents temps scolaires, péri, extra…les sortir durablement des canapés et des écrans. Quelle stratégie concrète développerez-vous ?

L’avenir de la société repose sur sa jeunesse, moteur d’une résilience d’un pays face aux crises, nombreux défis de santé, d’éducation, de citoyenneté, d’insertion sociale et professionnelle y sont associés

Nous ne pouvons qu'abonder et souscrire à votre analyse de l'avenir de la société.

  Cela implique que les adultes en responsabilités donnent des réponses concrètes pour favoriser leurs pratiques sportives et l’engagement associatif (accès aux responsabilités, reconnaissance) de l’école à l’enseignement supérieur. 

Les premiers adultes en responsabilités qui doivent apporter des réponses sont les parents. Ceci dit , à notre niveau (échelon local, départemental, régional et national) nous avons aussi, je vous rejoins, notre rôle à jouer. 

Quelle stratégie concrète développerez-vous ?

Je ne vous parlerai pas de stratégie car, dans notre philosophie, elle doit être définie après concertation avec l'ensemble des référents territoriaux. En revanche, quelques constats et pistes:

Après des conventions passées avec les principales fédérations sportives scolaires (usep, unss, fsu, ugsel) lors des précédentes olympiades, force est de constater que sans suivi, ces conventions ont du mal à vivre dans les territoires( même si certains comités ont mis en place de réels partenariats avec les comités usep, unss) et nécessitent aujourd'hui une refonte, une réflexion, des  amendements car  une convention nationale ne peut être efficiente, efficace et avoir du sens si elle n'est pas déclinée régionalement et encore plus départementalement (au plus près des établissements scolaires et des clubs) Nous avons identifié la nécessité de réinterroger ces conventions , notamment celles avec l'USEP et l'UNSS.

De plus, si certains s'insurgent que le ministère des sports soit aujourd'hui intégré à celui de l'éducation nationale, il me semble qu'il faut le voir comme une opportunité. Pour le 1er degré (école primaire), La place de l'EPS est aujourd'hui quasi inexistante dans la formation continue des professeurs des écoles (la majorité des formations étant centrées sur les "apprentissages fondamentaux, à savoir le français et les maths (pour faire court)) . Le sujet de la formation des enseignants sur la thématique EPS ne doit pas concerner le seul badminton mais doit être porté par l'ensemble du monde sportif (donc par le CNOSF).Nous parlons ici de la porte d'entrée et des conditions liées à l'éducation nationale sur la formation des enseignants dans le 1er degré. je ne m'étendrai pas sur le fiasco du 2S2C (Sport, Santé, Culture, Citoyenneté) ni de la dernière annonce des "30 minutes" par jour. (Je reste à votre disposition pour en débattre).

Après la formation des enseignants, la seconde porte d'entrée est le partenariat avec l'usep: la dernière convention avait permis la création de l'outil "à l'école du badminton" et le développement des rencontres badminton sur le temps scolaire et extra scolaire(le mercredi après-midi). Il faut demain élargir le public cible en déclinant des outils et des séquences pédagogiques vers les maternelles. A contrario, s'inspirer du modèle usépien  sur l'organisation des rencontres jeunes en dotant les clubs d'outils permettant une implication des jeunes sous la bienveillance des adultes. (Dans une association usep, il y a un collège "enfant". Les enfants ont différents rôles: organisateurs, (invitations, préparation, accueil, encadrement, journaliste...) joueurs, arbitres... S'inspirer des formules de jeu utilisées lors des rencontres uépiennes.

Sur le second degré, (unss); ré-interroger la convention en revoyant notamment les passerelles des jeunes officiels permettant une réelle reconnaissance dans la filière fédérale. Enfin concernant les universitaires, les échanges existent, fonctionnent mais sont méconnus.

J)   La fédération semble à la fois souffrir d’absence de coordination globale et de transversalité. Cela s’observe notamment par les décalages entre la vie administrative fédérale (illustré par l’ancêtre du guide du badminton), une offre sportive assez conservatrice, la mobilisation non maîtrisée (dans la conception, réalisation, appropriation, suivi-évaluation) dans des projets tel que le classement ou l’informatique ? Quel organigramme intégré (impliquant les différents acteurs professionnels et élus) proposerez-vous, comment s’organisera la vie fédérale à partir du 14 décembre prochain ? DG ou pas ?

Réponse en partie au point H. Clairement il faut avoir une approche organisationnelle plus proche du monde de l’entreprise, la fédération par bien des aspects est une entreprise, même si c’est avec une vocation citoyenne. Nous avons dans notre équipe des personnes dont c’est ou était le métier, nous mettrons tout sur la table, associeront bien entendu le personnel, et si le besoin d’un DG est là et bien nous recruterons un DG.

K)   Vous semblez remettre en cause l’évolution de la communication interne et externe de la fédération, sur quel bilan vous appuyez-vous ? Quelles sont vos propositions soutenables en la matière, au regard du fonctionnement fédéral éclaté entre les secteurs et de l’écosystème médiatique actuel ?

Le schéma de communication actuel n’a guère évolué depuis plusieurs olympiades, et force est de constater par rapport à d’autres fédérations qu’il est daté, c’est d’ailleurs un reproche récurrent de l’ensemble des acteurs (durant l’olympiade, et lors de nos rencontres sur le terain de campagne). La communication ne peut être un silo, dans toute organisation moderne c’est un service ressource pour la communication interne, et le catalyseur du rayonnement de la société… le fait de cantonner comme jusqu’à présent dans un silo communication marketing évènementiel le bride et bride également les deux autres. Le qui fait quoi de ses services sera updaté et permettra d’exploiter au mieux les compétences de chacun.

La démagogie n’est pas bonne conseillère, la critique est facile mais l’art difficile…Prenez le temps de me convaincre !

J’espère que modestement nous aurons répondu à votre interrogation, et pour résumer si nous devions nous cantonner à une devise que vous comprendrez probablement « Mobilis in mobile ». Quel que soit votre vrai nom nous aurons besoin de personnes comme vous pour rejoindre dans notre équipage après le 12 décembre pour lever le mystère sur l’île fédérale et la conduire bien plus loin et haut.

L'équipe Bad 2028.

Chères amies, chers amis,


Samedi 12 décembre va se dérouler l’Assemblée Générale Elective, c’est un acte qui va engager la fédération sur la prochaine olympiade, et même au-delà.

Nous avons fait le pari d’une proposition de projet novatrice et audacieuse, structurée, responsable, avec une assise économique concrète, résolument tournée vers l’avenir et le développement.

C’est une première dans l’histoire de notre fédération.

Nous avons ainsi construit délibérément une équipe (et non une liste) autour d’un projet.

Une équipe opérationnelle rapidement, qui dispose d’un réseau d’influence chez les décideurs, territoriaux nationaux internationaux.

Notre projet est construit autour et à l’attention de toutes les instances fédérales, du club à la ligue en passant par le comité.

Il ne vous aura pas échappé que le projet de notre équipe s’appuie sur des expériences et compétences multiples et spécifiques, compétences dédiées à chacun de nos axes de développement, issues du badminton ET de la « société civile ».

Une équipe qui a une pratique professionnelle de la coopération avec les instances décisionnelles dans toutes les thématiques intéressant notre sport.
Bref, une équipe qui est en phase avec la réalité de la société et de ses besoins.


Nous avons fait le pari des expériences et des expertises :
•   EXPERIENCE et EXPERTISE du sport de haut niveau.
•   EXPERIENCE et EXPERTISE pour développer l’accès du sport au plus haut niveau.
•   EXPERIENCE et EXPERTISE du fonctionnement de la fédération.
•   EXPERIENCE et EXPERTISE du sport au service de la citoyenneté.
•   EXPERIENCE et EXPERTISE de l’économie sociale et solidaire.
•   EXPERIENCE et EXPERTISE pour permettre aux clubs et licenciés de pratiquer dans la diversité.

Un véritable savoir-faire !

Toutes ces expériences seront au service du développement de la fédération pour que celle-ci devienne un acteur sportif, un acteur sociétal et un acteur du lien social.
Cette transformation se fera avec et pour toutes les instances fédérales, au service de nos clubs et des citoyens.
Dans notre équipe, toutes ces expériences ne s’appuient pas uniquement sur des réseaux sociaux, mais sur des réseaux professionnels du monde de l’entreprise, associatifs et politiques.


Ce sont toutes ces expériences et cette expertise qui nous différencient.

Notre projet, n’a pas varié depuis le début de la campagne, nous avons gardé notre cap, car nous savons que c’est celui qui mènera la fédération vers un avenir meilleur et ambitieux.

Notre analyse et stratégie ont été confortées lors de nos rencontres. Vos remarques et apports nous permettront d’intégrer les spécificités de vos territoires, dans le déploiement de ce programme pour enrichir toute la communauté du badminton, pour en faire le projet de tous.
Les acteurs de notre équipe ont été choisis pour leurs compétences en adéquation avec la mise en ½uvre du projet. Nous n’avons pas souhaité nous engager dans une stratégie politicienne, ostentatoire, à géométrie variable.

Nous vous faisons confiance, car nous croyons que vous qui composez la famille du badminton, êtes des bénévoles responsables, lucides et clairvoyants.

Notre projet n’est pas une simple affiche, mais une stratégie planifiée qui s’inscrit dans le temps long, dans la modernité et dans la résilience.

Notre programme n’est pas une belle enveloppe dans laquelle on peut insérer n’importe quelle campagne électorale (sportive ou non) en promettant aux électeurs de répondre à toutes leurs attentes dans un délai immédiat, mais sans préciser les ressources nécessaires (financières, logistiques ou humaines) à sa mise en ½uvre.

Nous savons tous que des promesses non tenables (et souvent non tenues) sont la source de déception, de perte de confiance et souvent d’un endettement démesuré pour tenter de coller quelques rustines.

Rejoignez notre équipe dont la boussole est celle du bon sens, du réalisme et de la fédération de tous ; c’est ainsi que nous pourrons développer, ensemble, notre sport, sur les plans sportif, citoyen et social.

Consultez notre programme sur notre site bad2028.fr
https://bad2028.fr