Les jours sans...

Bonjour à tous,

J'ouvre un topic pour poser une petite question : Est ce que quelqu'un qui aurait fait des étude là dedans pourrait m'expliquer quelles pourrait être les causes scientifico-psychologiques de ces jours où malgré l'envie de jouer les jambes veulent pas démarrer, la tactique ne veut pas se mettre en place, idem pour la technique?
Parce que c'est quand même extrêmement énervant qu'avec mon expérience et mon niveau, il y ait des jours ou rien ne va tout simplement bien que je sois constamment motivé. Je soupçonne une carence en un ou plusieurs nutriments qui agiraient sur ça.

Merci :)   

Cherche pas, quand ça va pas, ça va pas...Que ce soit du bad ou n'importe quoi d'autre, et je ne sais si une étude pourrait définir la source de ce fléau.
Tiens c'est marrant j'écris ça alors que justement ce soir c'était un soir "sans" pour moi. J'ai enchainé les bois d'une manière plus qu'épique, bref ça m'a gavé et j'ai rien pu y faire.
Ca ira mieux la semaine prochaine et puis voilà :).

Ca peut être la peur de quelque chose par exemple en match, la peur de gagner ? 😓

les jours SANS suivent souvent des jours AVEC ( ça a été mon cas cette semaine : très bien mercredi et rien hier soir jeudi).

Et paraissent d'autant plus "sans" que la veille tout passait.
Il faut relativiser et remettre ça en fonction de son  niveau moyen.

Pour les éviter : respecter une bonne hygiène de vie, régulière, s'échauffer peut-être plus longuement et plus intensément qu'à l'habitude et savoir se reposer, physiquement et mentalement.

On est beaucoup à jouer plusieurs fois par semaine et on voudrait être chaque jour au moins aussi bon que la veille. C'est dur pour les muscles qui perdent en souplesse/réactivité, c'est dur pour la tête aussi de rester concentré et "agressif".

Cible tes priorité, fais toi un planning en fonction en aménageant des temps de repos et ne cherche pas dans une pharmacopée de compléments nutritifs la solution. :vomi:

Attention ce qu'on appelle communément la "peur de gagner" s'apparente plutôt à la peur de NE PAS gagner.

La réflexion est la suivante :
"Je suis en mesure de battre mon adversaire, même je dois le battre car je me sens meilleur, plus fort... Donc je ne dois pas perdre ce match".

L'ennuie c'est qu'avec ce genre de raisonnement, c'est que dés que la situation se retourne, (quelques points de retard par exemple), la peur vient et se traduit par un manque de confiance...

Dans ce cas là, il vaut mieux avoir à l'idée qu'un adversaire capable de nous mener (même si ce dernier à l'air d'être plus faible), est un adversaire à notre taille. Peut-être va t'il compenser son manque de technique ou autre par un mental d'acier, une très bonne stratégie...

Cheese, as tu à un moment donné penser que tu "devais battre" ton adversaire ou tes adversaires parce que tu te sens meilleur qu'eux ?

Carrément xD

Mais que sois contre des adversaires que je bas en temps normal ou non ça ne change rien^^ ce que je ne comprend pas c'est pourquoi un jour (qui suis généralement un jour où tout vas bien c'est vrai.), bah le cerveau veut pas se mettre en place, physiquement ça fait comme quand on est en manque de sucre alors que tout vas bien (déplacements lents, vitesse de réaction lente, choix tactique complètement débile, etc...) je parle de ce problème mais indépendamment de l'adversaire. Puisque je ne suis pas le genre de joueur à subir la pression ^^. Mais je n'écarte pas la possibilité de la fatigue due au surentraînement de la veille, mais je me dit que si les muscles sont fatigués, la vitesse de réaction ne devrait pas être affectée, seulement l'efficacité musculaire en toute logique, mais en même temps, si on donne un "ordre" à un muscle et que la fatigue de celui-ci influe sur la réception du message, alors ça expliquerait tout ^^ .

Vous voulez d'un mec qui vous parle d'un jour sans ? Je suis là !!!
Tournoi aujourd'hui. Le recit
Premier match je perd je ne sais encore pas pourquoi. Pas moyen d'aligner 2 points. On commence le match par mener 4 ou 5 a 0, puis on se fait grignoter pour s'arreter à 17 ou 19. Bon allez pas grave on passe au deuxieme.
Deuxieme match. Je crois que ca doit etre le pire de ma vie !!! Comme d'hab on commence par mener 5 a 0 puis comme d'hab on se fait remonter pour bloquer à 18. Deuxieme set on gagne assez facilement (21-13). En le 3eme, comme d'hab on mène 5 ou 6 a 0 puis on s'envole. 12 puis 15 puis 18 puis 19 et 20. A 20-10 je me dis "Il ne peux plus rien m'arrive, ce match est pour nous" , et là, vous me croirez ou pas, JE PERD 21-23 !!!! 
On a tout essayer pour comprendre COMMENT on peut perdre en ayant 10 points d'avance. Incomprehensible !!! Je ne me l'explique toujours pas aujourd'hui. Cela dit c'est pas nouveau, on m'appelle 18 (score auquel je m'arrete). Ce put*** de 18. La peur de gagner est comme le dit Sheldon la peur de ne pas a gagner. Arrivé à 18, je veux tellement gagner que j'essaye d'assurer mes coups que je change de jeux, ce jeux qui m'a permis d'arriver à 18. Du coup les adversaires en profitent et patatra. Allez hop au suivant !!!
Du coup je suis rentré, j'ai jetté ma raquette, je me suis arreté chez Phildar j'ai acheté de la laine et je me suis mis au tricot

La meme aujourd'hui récit ==> premier set on gagne 21-05, deuxième set on perd 30-29 et troisième on s'incline 21-18... Ce fut un beau match mais jai une tres grande frustration 😓

Et bien moi les jours sans, c'est vraiment sans. C'est à dire que les jours sans, pour moi, c'est quand je perds 21-08 ; 21-05 ou un truc comme ça. Je n'ai jamais perdu de match ultra-serré. Donc je peux être content mais quand ça arrivera...  :D 

Hello,

Je ne pense pas qu'il y ai une cause scientifique. Elles peuvent être multiples :

- Motivation timorée.
- Enchainement de matchs qui fatiguent l'organisme.
- Surplus de confiance (qui entraine parfois la défaite)
- Volonté de plier un match trop rapidement.
- La bouffe ! (trop ou pas assez).
- Le changement de jeu en cours de partie pour assurer une fin de match, mais le problème c'est que parfois ca joue le jeu de l'adversaire.

Et parfois ça ne vient tout simplement pas de toi. Le mec en face a parfois des montées de talent !

Et ça s'applique dans tous les sports.

Bonjour,

Personnellement les jours sans arrivent lorsque je joue trop souvent au bad. Jouer trois fois d'affilée avec 3h à chaque fois j'ai arrêté.

Bonjour,

Personnellement les jours sans arrivent lorsque je joue trop souvent au bad. Jouer trois fois d'affilée avec 3h à chaque fois j'ai arrêté.

Ça me semble normal aussi : statistiquement, si tu joues plus souvent, mathématiquement, tu reduis la fréquence entre 2 séances "sans" probables

Là, il n'y a pas que les "stats" à prendre en compte... simplement la fatigue musculaire ! ;)

Là, il n'y a pas que les "stats" à prendre en compte... simplement la fatigue musculaire ! ;)

ET mentale. Pour moi le mental compte légèrement plus que le physique, mais après c'est chacun son truc ;).

Un nouveau topic sur le mental? Qui ouvre? ;)