Un bon entrainement : C'est quoi ?
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Un bon entrainement : C'est quoi ?

Démarré par lolo85, 21 Décembre 2014, 21:11

lolo85 Le 21 Décembre 2014, 21:11 Dernière édition: 24 Décembre 2014, 11:18 par Clément
pour vous comment bien s échauffer? combien de temps? étirement? combien de temps d exercice de ce style (http://youtu.be/jV0DUpyovLw) combien de temps de jeu pour bien progresser.

Champagne99 Le 21 Décembre 2014, 21:58 #1 Dernière édition: 22 Décembre 2014, 10:19 par aurelien_p
Salut,
Pour répondre à la question générale, je dirai qu'un bon entrainement est un entrainement où quand tu as fini tu te dis "j'ai donné le max de moi-même, sur le physique, la technique et le mental. Je vais progresser en gardant ce rythme"  ;).

L'échauffement (je te donne le mien, je ne dis pas que c'est "le best" mais il me suffit :)) :
Pour moi ça dure environ 15-20 min. Dans l'ordre :
-Course rythme footing 5 min environ.
-2 longueurs de gymnase talons aux fesses.
-"                                  " genoux hauts.
- 4 longueurs de gymnase pas chassés (2 de chaque côté).
-déplacement marche arrière.
-fentes avant tranquilles au début puis tu forces progressivement.
-tiping.
Perso je ne m'étire pas après l'échauffement, je le fais à la fin de l'entrainement.

Ensuite pour les exercices (désolé j'ai pas regardé la vidéo en entier, mais j'ai eu une vue d'ensemble) :
Des fois je réduis le temps d'échauffement et j'inclus à la place ces quelques exo (en étant toujours en effort progressif). Prends 4-5 exos et fais-en pendant 20-30m.

Et pour finir je te cite "combien de temps de jeu pour bien progresser". Le temps est un facteur dans la progression, mais c'est surtout l'envie de progresser qui fait progresser. Donc donne le meilleur de toi-même ;).

Un bonjour en début de  ton post ne te fera pas de mal...

"Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime."
Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


NewT7900 Le 22 Décembre 2014, 08:37 #2 Dernière édition: 22 Décembre 2014, 10:19 par aurelien_p
Bonjour,
Citation"j'ai donné le max de moi-même, sur le physique, la technique et le mental
Je ne suis pas d'accord !

Tout d'abord, si tu tires trop sur ton physique lors des entrainenements, à la longue tu vas t'épuiser jusqu'au moment où ton corps te lâchera ou que tes performances baissent à cause de la fatigue.

Ensuite, un entrainement ne veut pas dire "à fond tout le temps". Si tu compares à la course à pieds, un progamme d'entrainement est composé de sessions courses courtes, longues, intenses, de écupération, de fractionnés, etc...

Enfin, donner le maximum signifie que ton rythme cardiaque est toujours élevé. Donc, consommation de glucose essentiellement. Alterner entre exercices souples et plus rythmés est essentiel.

Si je rentre chez moi après un entrainement avec l'impression d'avoir tout donné physiquement, c'est que mon entrainement n'a pas été cohérent.

Ma définition d'un bon entrainement: je suis heureux d'y être allé, je n'ai mal nulle part et je sens que j'ai progressé.

"Les plumes, c'est la vie"


Gillou76 Le 22 Décembre 2014, 09:24 #3 Dernière édition: 22 Décembre 2014, 10:19 par aurelien_p
Attention à ne pas confondre : "avoir tout donné physiquement" ne veut pas dire "tout donner physiquement tout au long de la séance d'entrainement".


"donner le max sur le physique"... moi ça me semble bien, mais c'est surtout à remettre dans le contexte de la saison et la personne :

Combien de phases de jeu par semaine ? Si peu de phase de jeu, le corps a le temps de récupérer d'un entrainement intense.

Est-ce que l'entrainement est alterné avec de la compète ou non ? Car, si oui, il faut mieux conserver une certaine fraicheur physique et mentale pour la compète.

Quel est le profil de la personne ? Si elle est à la rue physiquement (je sais de quoi je parle ^^), il faut bien qu'à un moment ou à un autre, elle se fasse violence pour progresser.


"je suis heureux d'y être allé, je n'ai mal nulle part et je sens que j'ai progressé"
Moi aussi je suis heureux d'y aller, mais tu m'expliqueras comment tu progresseras en physique sans jamais avoir mal nulle part :o.

"no pain, no gain" ==> pas de souffrance, pas de progression.
Si tu ne te forces pas à te faire du mal, tu ne progresseras jamais (sur le physique et le mental).
Bien sûr souffrance ne veut pas dire se blesser, ça veut dire se vider son énergie.


Ensuite je vais resituer mes propos:
En effet tout dépend de la personne : certains récupèrent assez vite (j'en suis) et d'autres ont du mal à récupérer. Mais plus tu fais mal, plus tu te renforces et moins tu as de problèmes de physique.
Ensuite bien sûr il y a le problème de combien d'entrainements par semaine et de la compet du WE.
Bien sûr on réserve sa fraicheur pour la compet :o. On se calme sur l'entrainement qui vient juste avant (et ça c'est même à l'entraineur de le prévoir, si il y a en un bien entendu ;)). Et pareil on ralentit si les entrainements sont assez rapprochés.
Enfin quand je dis donner le max (physique) de soi-même, il faut rationnaliser : je dis pas que quand on finit l'entrainement on arrive plus à marcher et qu'on a plus assez de jus pour gérer les pédales de la bagnole...
Mais si tu repars aussi frais que quand tu es arrivé, faut arrêter le sport.
"Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime."
Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


Citationmais tu m'expliqueras comment tu progresseras en physique sans jamais avoir mal nulle part
De mes 7 ans à mes 28 ans, âge auquel j'ai arrêté le tennis intensif (TOP 100 à 23 ans), je ne suis jamais sorti d'un entrainement en étant mort physiquement et je ne me suis jamais levé le lendemain en ayant mal partout. C'est de ça que je veux parler. J'ai vu de mecs se ruiner la santé en voulant trop donner. Des mecs gerber sur les terrains en pensant bien faire. Des mecs fusiller une saison en croyant que la petite douleur au coude aller passer.

"Les plumes, c'est la vie"


"Top 100 en tennis à 23 ans" : tu avais un gros niveau, mais comme tu m'as dis que tu ne dépensais pas "à fond", j'en déduis que tu avais de bonnes prédispositions physiques à la base. Tu as sûrement un physique au-dessus de la moyenne ou une capacité de récupération excellente.

Moi je n'ai pas vu de mec se ruiner la santé à tout donner (j'ai pas vu tout le monde non plus ;)). Je n'ai vu que des mecs qui progressaient SAUF ceux qui sont tombés dans le surentrainement (et je pense que c'est de ça que tu parles). Effectivement le surentrainement n'offre aucun progrès mais au contraire te fais régresser. Mais ce n'est pas une fatalité, il faut juste changer sa méthode de travail et on repart correctement.

Gerber sur le terrain n'est pas un mauvais signe. C'est en général lié à l'alimentation qu'à eu l'athlète avant l'effort. Et des fois ça arrive, mais y a pas de quoi s'inquiéter (sauf si vraiment il gerbe ses tripes 3 fois par semaine).

La petite douleur au coude, c'est une douleur articulaire. Quand je parle de s'épuiser au physique, je ne dis pas qu'il faut forcer comme un bourrin quitte à se blesser (il faut pas tout mélanger :o). La santé avant tout, bien évidemment ;).

Pour finir laisse moi te dire que la majorité des athlètes de haut niveau se donnent "à fond" à l'entrainement. Mais bien sûr ils ne le font pas tous les jours et ils bénéficient de plus de moyens de récup' que nous (massage, bains glacées...).
"Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime."
Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


Et au fait bon anniversaire lolo85 ;).
"Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime."
Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


merci champagne99 . en tout cas votre discussion est très intéressante et je la suis attentivement. je comprend maintenant qu une disposition sportive ce construit des l enfance et sur des années.

En effet lolo85, il faut de la patience pour arriver à avoir une bonne aptitude sportive (bien que de rares chanceux progressent extrêmement vite ;)). Et en effet plus tu commences jeune et mieux c'est. Mais ce n'est parce que tu as 35 piges que tu ne progresseras pas :D.
Si je prends la course à pied en exemple, les meilleurs coureurs que j'ai vu n'avaient pas 20 ans. Ils en avaient au moins 30 et certains en avaient même 50 :). Après on va pas se mentir, plus tu es jeune et mieux c'est.
C'est cette année ma 14ème année de sport (j'ai 18 ans) et pourtant ça ne fait que 3 ans que je suis un "assez bon" sportif. Pourquoi ? Parce qu'avant je m'en foutais du sport et j'avais pas envie de me dépenser. Ce sont les seules raisons. Et puis voilà il y a 3 ans j'ai eu un déclic (venu de je ne sais où ;)) et depuis j'ai le sport dans les veines, c'est ma plus grande passion et je déprime quand je n'en fais pas.

Comme quoi le mental joue aussi un grand rôle dans le sport : le physique je pouvais l'avoir, mais comme je ne voulais pas le développer et ben je l'avais pas. J'ai inversé la machine et maintenant j'ai un bon physique qui se développe sans cesse.
C'est aussi simple que ça ;).
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Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


Citationtu avais un gros niveau, mais comme tu m'as dis que tu ne dépensais pas "à fond", j'en déduis que tu avais de bonnes prédispositions physiques à la base. Tu as sûrement un physique au-dessus de la moyenne ou une capacité de récupération excellente.
Non, pas spécialement... J'étais doué techniquement et j'ai du adapter le physique. Mes séances d'entrainement se faisaient très rarement à plus de 85-90% de ma FC max.

Je n'ai pas un gros niveau en bad, je fais essentiellement du double (B) car difficile de rivaliser à 43 ans en simple... C'est devenu un sport loisir alors que le tennis était aussi un sport compèt.
Ce que j'ai pu constater comme différences entre les deux sports, et c'est ce qui peut expliquer les différences d'entrainements, c'est qu'en bad, on doit être capable de répéter des matchs de 30-40' plusieurs fois sur une journée, alors qu'en tennis, ce sont des matchs de 1:30 2:00 plusieurs fois sur une semaine. Je montais très rarement haut en FC lors d'un échange de tennis alors que ma montre cardio me montre de nombreux pics en bad (je n'avais pas de montre à l'époque où je faisais du tennis).

Quand je vois les séances des A en bad, c'est totalement différent de ce que je faisais au tennis.

CitationSAUF ceux qui sont tombés dans le surentrainement (et je pense que c'est de ça que tu parles
C'est en partie ça, mais le surentrainement se "fait" à cause des séances répétées aussi. Trop de séances sans break n'est pas bon.
Ce que je ne trouve pas bon sur une séance unique, c'est de vouloir aller trop loin comme j'ai pu le voir il y a plusieurs années. Des mecs de 16 ans à chialer sur les courts et à arrêter dans les mois qui suivent à cause d'entrainements trop poussés, ça n'est pas beau à voir (craquage moral ou physique). Et pourtant, à la fin l'entraineur qui leur disait "c'est bien, mec, t'a tout donné"... Pffff... C'est ça que je ne veux plus voir et c'est la raison pour laquelle je n'aime pas l'expression "avoir tout donné" lors d'une séance. En match, c'est autre chose :) Et c'est ce qui fait la différence entre un bon et un très bon joueur !

Mais si tu donnes tout à l'entrainement, tu n'as plus rien pour le jour J. Je suppose par exemple que les coureurs de marathon ne courent pas un marathon tous les jours.

"Les plumes, c'est la vie"


Gillou76 Le 23 Décembre 2014, 09:12 #11 Dernière édition: 23 Décembre 2014, 09:21 par Gillou76
Citation de: NewT7900 le 23 Décembre 2014, 08:01Mais si tu donnes tout à l'entrainement, tu n'as plus rien pour le jour J. Je suppose par exemple que les coureurs de marathon ne courent pas un marathon tous les jours.

Il y a de belles histoires avec des coureurs hors norme qui font un marathon par jour sur une période donnée... Ce sont des cas particuliers... Et nous sommes tous des cas particuliers, avec nos objectifs propres, notre histoire sportive propre, notre mental propre...

Bravo pour ton parcourt au tennis ! Je suis à 1000 lieux de toi dans mon passé de sportif...
Mais ta propre expérience semble prouver que le cardio au tennis n'est pas le même qu'au badminton, non ?
Hors, l'entrainement ne permet-il pas de se préparer à l'effort qu'on doit fournir ?
De plus, est-ce que c'est l'intensité de l'entrainement qui fait le surentrainement, ou est-ce le non-respect de la période de récupération (qui est en relation avec l'effort fourni) ?
Se faire mal lors d'une séance d'entrainement, est-ce forcément synonyme de se blesser ?

Il y a eu un parallèle de fait entre course à pied et badminton... Ayant fait modestement des deux, je trouve qu'à mon niveau la grosse différence à mon niveau est la disponibilité du terrain de jeu :

- Pour la CàP, on peut où on veut quand on veut, donc un peut réellement optimiser l'entrainement en fonction de notre "besoin" (on peut alors, si on a des disponibilités, faire un "entrainement de pro"). Cela vaut aussi pour les préparations estivales de badmania.

- Pour le badminton, hors vacances, on a des créneaux alloués, qui peuvent être assez restrictifs (une ou 2 fois par semaine seulement). Et comme on fait ce qu'on peut avec ce que l'on a, je ne vois pas de contre-indication à viser un entrainement intensif (fait dans les règles de l'art, avec un vrai échauffement, une monté en charge progressive, et en restant à l'écoute de son corps), en relation avec la fenêtre de récupération de 3-4 jours prévue derrière.

Remarque : On peut également faire un mixte : entrainement bad + un peu de physique lorsqu'il y a des "trous" dans la semaine... Dans ce cas là, l'entrainement bad peut être moins intense.

L'entrainement dépend donc de nous et de notre planning. La priorité est qu'on soit en phase de surcompensation lors de l'entrainement suivant et non en phase de récupération.


[at]NewT7900 : en relisant la dernière réponse, je pense que nos avis se recoupent. C'est juste une expérience de ton passé au haut niveau qui t'a fait tiquer sur une expression qui n'a pas, je pense, le même sens que pour un sportif "normal" (oui, je ne mets pas "sportif de haut-niveau" dans la case "sportif normal"  :P)

"Ce que je ne trouve pas bon sur une séance unique, c'est de vouloir aller trop loin comme j'ai pu le voir il y a plusieurs années. Des mecs de 16 ans à chialer sur les courts et à arrêter dans les mois qui suivent à cause d'entrainements trop poussés, ça n'est pas beau à voir (craquage moral ou physique). Et pourtant, à la fin l'entraineur qui leur disait "c'est bien, mec, t'a tout donné"... Pffff... C'est ça que je ne veux plus voir et c'est la raison pour laquelle je n'aime pas l'expression "avoir tout donné" lors d'une séance. En match, c'est autre chose :) Et c'est ce qui fait la différence entre un bon et un très bon joueur !"

Bon là je ne peux qu'être d'accord avec tes propos. Evidemment le sport reste un loisir (même si on a un bon niveau) et il ne faut en aucun cas mettre sa santé en péril pour progresser ;).
Si ces jeunes ont craqué, c'est sûrement (je me trompe peut-être) qu'ils ont changé brusquement soit de niveau (donc entrainement plus poussé pour maintenir ce nouveau niveau), soit de méthode d'entrainement (corps pas habitué à un nouvel entrainement peut avoir un certain temps d'adaptation, tout ça est dû au système nerveux du sportif) soit ils changent aussi de personnalité : à 16 ans (en général) le sport tu le mets de côté et tu préfères voir tes potes et faire des soirées. Tu perds ta motiv' et tu craques mentalement beaucoup plus vite. Et après ton corps est trop fatigué pour supporter une séance d'entrainement (même si elle est "assez" calme).

Ensuite ne n'est pas parce que tu te fais mal à l'entrainement que tu as mal APRES l'entrainement.
Moi en général je me vide les tripes sur un terrain. Et pourtant le lendemain, j'ai 3 fois rien (ça tire légèrement, mais rien de mal). Alors pourquoi ? Déjà j'ai une très bonne récupération (don de la Nature), je bois correctement pendant, avant et après le sport (élimination de toxines considérable) et je m'étire correctement à la fin de chaque entrainement.

Donc oui je donne tout à l'entrainement, et j'ai jamais autant progressé de ma vie  :).
J'ai fait 13 ans (dont 10 inutiles, si tu as lu mon précédent post) de foot et je me suis rendu compte (il y a 3 ans) que plus l'entrainement était difficile, plus le match du dimanche était facile. Evidemment à l'entrainement du vendredi on ne faisait pas un marathon. On faisait des ateliers balles au pied pas trop crevants et le dimanche j'étais chaud, j'avais envie de bouffer tout le monde. Par contre le mercredi, au physique, je me mettais sec et ça ne m'a jamais porté dommage, bien au contraire ;).
"Ne crains pas l'échec. Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime."
Et les échecs ne sont jamais définitifs, ils ne sont que l'étape située juste avant la réussite.


Sheldon Bad theory Le 23 Décembre 2014, 11:23 #13 Dernière édition: 24 Décembre 2014, 11:18 par Clément
Un bon entrainement pour la partie technique du moins, est un entrainement où le coach ne t'explique pas seulement le "comment" mais aussi le "pourquoi" d'une routine, d'un geste...

Je m'explique : Lorsque tu demande à des joueurs niveau D4 de faire des routines de Slice sans expliquer le pourquoi, les joueurs seront vite démotivés par les déchets techniques... C'était mon cas avant d'avoir l'explication du coach.

En expliquant que le Slice permet de faire la différence notamment en simple, de rajouter une incertitude en plus pour les coup à intercepter pour l'adversaire etc... Non seulement on gagne en motivation, mais on sait aussi comment rendre une technique, une routine, une phase de jeu plus efficace en match !

Carlton Vapour Trail Tour
Carlton X-elerate X67 > 10kg
Asics Gel Rocket 6[/i
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NewT7900 Le 23 Décembre 2014, 12:39 #14 Dernière édition: 23 Décembre 2014, 12:41 par NewT7900
Hello !

Effectivement, je pense que qand je parle d'aller trop loin, je fais beaucoup le rapprochement de ce que j'ai pu voir à l'époque. Certains prenaient même des "vitamines"...

Petite question pour la différence entrainement/compet... En compet, il m'est arrivé de "tout donner" pour gagner (et parfois perdre quand même). Là, le jour même, et même le lendemain, ça fait mal. Pas forcément aux corps mais au point d'être pysiquement incapable de tenir une raquette. Je n'ai jamais ressenti ça en entrainement, preuve que je n'y donnais pas tout :)

Quand je vois Nadal et Djoko en final en Australie après un combat épique qui ont besoin d'une chaise pendant la remise des trophées, là je me dis que ces mecs savent se sortir les trippes !

"Les plumes, c'est la vie"